Pomme et pomme
Voir New York et mourir ! A chacun ses envies. D'mon temps, c'était Capri. Tout fout l'camp.
Dans son billet énigmatique ICI (mais pas trop, hein !) Antiblues nous annonçait son départ en aventures. Heureusement qu'Edualc le littéraire m'a donné la clé de la destination ICI
La big apple attire, fascine et séduit tous ceux qui la visitent. On dit aussi que New York n'est pas le reflet de l'Amérique. Moi, elle ne me tente pas, énorme et tentaculaire, grouillante et remplie de buildings qui se dressent comme des flèches parfois menaçantes.
Moi, vous me connaissez, pur produit made in France et fière de l'être, qu'irais-je y faire ? Et peut-on être à l'unisson d'un pays qui n'aime ni le cambembert ni le saucisson ?
Pendant que Antiblues va nous raconter sa découverte, moi, j'attends chaque jour l'heure du goûter pour croquer ma grosse pomme. Dodue, colorée, juste un peu sucrée -et bourrée de pesticides- elle est devenue le coupe-faim idéal. Elle me fait fondre de plaisir en faisant fondre ma graisse en excédent. Après une analyse de ma composition corporelle, il m'a fallu digérer que j'étais en surpoids, c'est mon IMC qui l'a dit !
T'as croqué la grosse pomme à pleines dents, Antiblues ! C'est mon tour de déguster la mienne. Et je fonds. Si, les centimètres s'en vont. Adieu eau et capitons ! Me voilà fin prête pour aller solder demain !