Des mots, une histoire 78
pour la 78e d'Olivia
thuriféraire - pauvreté - prétention - vitalité - infirmière - devoir - marasme - raccourci - palanquin - occasion - irréparable - cambrousse - fourbe - glauque - pigouiller - ministériel
Dimanche 14/10/2012, tandis que l’Autrichien Félix Baumgartner franchissait le mur du son en chute libre, 65 ans, jour pour jour, après le premier free fall de l’Américain Charles Yeager dans un avion de chasse, je devenais 100 % Freenaute. Je possédais déjà la Freebox.
Cette fois j’ai le Free mobile pour que dalle. «L’économie est mère de la pauvreté» (proverbe bulgare). Jeanne, j’ai osé quitter Orange !
Tout d’même quelle prétention, Soène ! Etre Freenaute n'est pas un exploit mondial. Que vont penser les Bloguinautes (anonymes ou pas) ? Tu risques de tomber de haut en lisant leurs commentaires…
Que voulez-vous, toutes les occasions sont bonnes pour inviter les Cop-Copines (et quelques thuriféraires) à me laisser des mots, même s’ils me pigouillent un peu. C’est l’jeu ma pauv’ Soène, quand on pigouille, forcément on se fait pigouiller. Miss So sera sûrement d’accord avec moi, "heureusement qu’il y a les règles" ! Mais c’est moins grave que de se faire suriner par Wens, hein ! «Fourbe un jour, fourbe toujours».*
Moi, vous me connaissez ! Je me fais un devoir de coller au plus près à l’actualité dans l’atelier d’Olivia -restée sans mot cette semaine !- (aurait-elle l'intention de ne pas écrire pour punir les deux Lyonnaises ?...), même si je risque de m’y brûler les ailes en voulant aller toujours plus loin… Ca vous rappelle Icare ? Comme c’est bizarre !
Encore un billet creux ? Décidément, c’est une spécialité «maison». Justement, c’est là que l’exercice est difficile : écrire pour écrire, sans avoir rien à dire, c’est très soènien -encore merci Ceriat !-
Pourquoi parler du temps maussade (FR 2), de l’amour à la cambrousse (M 6), des impôts qui augmentent (TF 1), des couacs ministériels quasi irréparables (BFM & iTV) ? Les journalistes le font bien mieux que moi. Que dis-je, que vis-je, que lis-je, dans quel état j’erre ?... Mon moi intérieur ne s’étale plus ici et d’ailleurs le monde entier s’en fout.
Dans ce marasme ambiant, je ne vais surtout pas ressortir le palanquin des larmes mais plutôt suggérer un raccourci pour faire le plein de vitalité. Un seul remède : un grand verre d’orangeade au petit déjeuner et une grosse dose de rigolade dans la journée (dans ma tour, c’est pas gagné mais je mets tout mon espoir dans les ateliers de Gwen, de Leiloona, d’Olivia, de Sophie, de Chiffonnette, Miss Aspho, etc.). Croyez-moi, avec ce traitement, je n’ai pas besoin d’une infirmière à domicile pour une série de piqures de vitamine. Nunzi, tu devrais essayer.
Pas de chute, aujourd'hui. Je ne suis pas un chat, je ne retombe pas toujours sur mes pattes...
* J'implore ton pardon, Wens, pour cette sournoiserie littéraire imposée par Moncafélecture qui pigouille aussi !
Je demande pardon aussi à celles et ceux à qui j’ai emprunté des expressions que j’adore !!!