Des mots, une histoire
Ce dernier tournoi «Des mots, une histoire» dans sa version originelle, je le précise bien, me plonge dans un état de choc, comme l’ours blanc qui voit fondre sa banquise. Olivia a raison de vouloir voir autrement. "Le changement c'est maintenant" ou "le meilleur est à venir", ce genre de canulars peut s'appliquer aussi à notre Bloguerie !
Que les susceptibles me pardonnent -je ne sais pas mentir- les 16 mots (apnée-admiration-tournoi-vérification-pardonner-mentir-circuit-chaussures-canular-susceptible-emménager-satiné-banquise-cape-scintiller-pavé) de la 80e récolte d’Olivia sont très ordinaires et manquent vraiment de saveur. Pour une fois, les enfants terribles se sont tus...
Je ris sous cape… Mon pavé dans cette mare littéraire, aussi peu agitée que les eaux d’un lac artificiel, va faire scintiller les yeux de quelques frondeurs… Je les vois venir avec leurs gros sabots ou leurs chaussures qui grincent pour déposer un commentaire gratiné satiné, du genre : «plus facile à dire qu’à faire, hein Soène» «à force de réfléchir, la pauvre Soène n’a pas vu le temps passer, mardi» «c’est pas çui qui dit qui fait»...
La plupart du temps, je suis en admiration devant les bons mots des bloguopotes. Pour ma part, mon cerveau est incapable de faire des étincelles, tout au plus un court-circuit qui me bloque face à ma page blanche. Par contre, les anagrammes, ça me connaît. Exemple : napée ou panée, ça fait également «apnée», chaussures, ça fait… heu «Joker» sur ce coup-là, j’y arrive pas !
Voilà. Faut pas trop me chercher en ce moment, je dis ce que je pense et j’ai ruminé ce que j’ai écrit !
P.S. La plume et la page, j’ai déménagé ton «emménager»… Et après vérification, j'avais oublié le mot de ma Copinette Ndll...
Portrait Germaine Bouret
Que personne ne prenne ombrage de ce billet : rien n’est vrai, bien sûr, c'est pour le jeu chez Olivia ! Je n’ai prêté ma plume à personne. Vos mots ne collaient pas à l’actualité de la semaine et j’avais envie de faire un billet d’humeur !